Archive For The “son et musique de cinéma et TV” Catégorie
Cet article est paru dans la revue en ligne australienne, « Senses of Cinéma » en juillet 2020, dans un numéro consacré au quarantième anniversaire de la sortie de « Shining ». Il a été traduit de l’anglais par David Buxton.
Le déclin des musiciens de studio (#65, juin 2018) En France comme aux États-Unis et en Grande-Bretagne, les années 1960-1970 étaient l’âge d’or des musiciens de studio. À l’époque des vinyles de 45 tours, on gravait deux ou trois titres par session de trois heures. Dominique Blanc-Francard, ingénieur du son depuis cinquante ans résume :…
Novembre 2017 Contenu : 1 Les appels à la régulation des GAFA se multiplient aux États-Unis 2 Hugh Hefner (Playboy) est mort 3 Séries télévisées : les géants mondiaux s’intéressent à la France 4 La vidéo par abonnement consommée par 2,3 millions de Français chaque jour 5 Exportations record en 2016 pour l’audiovisuel français 6 Google réaffirme ses ambitions dans le matériel (hardware) 7 Le streaming sur mesure de la musique d’ambiance pour les entreprises
Le design sonore touche à des domaines différents de l’audiovisuel, sans pour autant transparaître de manière évidente, à moins d’être un peu au fait des processus techniques utilisés pour sa mise en œuvre.
Juillet-août 2015 Contenu : 1 Rapprochement entre musiciens et publicitaires 2 Facebook ouvre un laboratoire à Paris, et prend une option sur l’avenir 3 Pour tout acheter, cliquez ici 4 « Les technologies sont des concentrés d’idéologies » 5 La télévision sur mobile se développe 6 Le streaming musical doit devenir payant, et la bataille s’annonce acharnée 7 « Jurassic World » 8 Patrick Macnee (Chapeau melon et Bottes de Cuir) est mort
Mai 2015 Contenu : 1 Le métier de compositeur se paupérise en France 2 Selon Advertising Age, c’est le consommateur qui est responsable du taux de mortalité élevé des séries télévisées 3 Et si chaque internaute devenait chaîne de télévision ? 4 Les investissements dans le cinéma en France sont en net repli
Mars 2015 Contenu : 1 Du nouveau sur les pratiques d’espionnage de la National Security Agency (NSA) 2 La cybercriminalité s’industrialise 3 La musique de film : l’exemple de Foxcatcher 4 Le palmarès des DJ 5 Le Google Glass doit être relancé 6 Twitter est en difficulté
Les orchestres virtuels reproduisent par échantillonnage, pupitre par pupitre, l’étendue des notes et des principaux modes de jeux des instruments acoustiques de l’orchestre symphonique classique.
L’hégémonisme des industriels de la culture musicale et du disque voudrait nous faire prendre ces pulsations idéologiques, non pour ce qu’elles sont : une valeur idéologique, mais pour une scansion naturelle de l’art.
Un article sur le traitement du son dans le cinéma de science-fiction à partir d’une réflexion sur le film Gravity, et qui s’appuie sur le concept néoformaliste de défamiliarisation.
Un logiciel sur disque dur permet depuis 2000 une émulation réaliste de l’orchestre classique à moindres frais. Il n’en va pas tout à fait de même pour la bande originale du film Gravity.
La bande son – et notamment la musique – dans les industries de l’entertainment participe à la prévention des risques commerciaux encourus par les producteurs et les distributeurs en instrumentalisant la réception des images.
On ne peut aborder la musique des séries télévisées sans tenir compte d’une tradition préalable de musique composée par le cinéma ; en effet, certains compositeurs de film reconnus ont longtemps tendance à écrire pour les deux médiums.
Interroger l’analogie entre le mouvement de l’image et le mouvement en musique revient à opérer la critique d’une évidence du sens commun cinéphilique et des pratiques musicales de l’industrie culturelle cinématographique.